*Félicitations, c'est une fille."
-Nous l'appellerons Chimalli, elle sera la protectrice denotre famille, de nos ancêtres, et bien sûr, de notre nom.
A ma chère Tante, mère de Chimalli.
18 années s'écoulèrent, Chimalli, fête aujourd'hui sa 18ème année. Elle vient de finir sa formation au sein du Temachtiloyan.
C'est vraiment un don des cieux.
Je vous pris de ne pas vous inquiétez à son égard, ma Tante. Elle se porte à merveille, n'importe quels parents eussent la chance d'avoir un enfant pareil l'aurait saisit.
Elle écrit beaucoup, en réalité, elle ne fait que cela. La littérature et les livres religieux sont ses passions, elle s'y intéressent fortement, depuis l'âge de ses 7 ans.
Physiquement, je ne pourrai la décrire. Elle est si belle et si douce ! Elle a les yeux bleus, les cheveux noirs.
Elle s'est bricolée des bracelets, avec des petites pierres de couleurs, ce qui vous attire le regard !
Elle ne peut se déplacer dans la cités sans que les habitants se retournent, pour la regarder, c'est une étoile.
Son enfance a été plutôt vigoureux, nous l'avons poussé dans les connaissances, l'intellect, et la sagesse.
Votre fille n'est vraiment pas manuelle, hélas. Elle ne peut rien faire tout seule, quand cela demande de l'effort.
Elle aime se faire écouter, elle à toujours la solution à tout ! D'ailleurs, ça a tendance à m'énerver, je ne peux rien dire sans quelle me contredise.
En outre, je pourrai rajouter en dehors de tout cela que vous lui manquez. Elle me demande parfois quand vous reviendrez, sans que je puisse lui répondre. Mais le fait de ne vous avoir jamais vu la rendue forte.
Comme je vous l'ai dit, elle écrit ses peines sur papiers, sous forme de poème (j'ouvrirai un topic avec certains poèmes, si vous le permettez). Je vous enverrai un de ses recueils. Je pourrai même dire qu'elle à un talent pour l'écriture.
Elle y raconte les guerres qui se sont passées il n'y a pas longtemps de ça.
Je n'ai pas le temps d'approfondir cette lettre, ne venons d'arriver sur de nouvelles terres, je vous réécrirai dès que possible, pour vous le citer.
Ma tante, je vous souhaite de très vite vous rétablir. Je vous écrirai très vite, adieux.
Je vous laisse avec cette lettre, un passage que Chimalli à écrit l'autrefois :
Mère, rétablissez vous, vite.
J'ai besoin de vous.
Le sort qu'on vous à donner m'attriste.
A quand vous reverrai-je, debout ?
